Alors je suis bien embêtée pour vous montrer que Junon est installée sur son transat et qu’en guise de portique - que nous n’avons toujours pas acheté, ou toujours pas trouvé, j’en cherche un précis… en bois, d’occas ? bref (bref, ça y est, j'en ai commandé un sur internet...)
- Et, en attendant, j’ai suspendu un jouet avec une épingle à linge à une couche en train de sécher sur le tancarvil. (que je ne peux pas vous montrer car notre appareil photo est en réparation, vous l'aurez compris !)Alors Junon le balance, l’attrape, le porte à sa bouche : c’est merveilleux à voir. Ça fait de petits bruits, ça bouge, se choque, c’est coloré. Junon, très concentrée, remue ses lèvres avec attention, observe très fixement le jouet suspendu qu’elle tire vers elle.
Entre deux balancements, elle souffle et fait des bulles énormes avec sa bouche. C’est très beau ! Pendant ce temps, elle discute, au travers de ses bulles, quelques vocalises, quelques « Haô » plus ou moins forts, puis carrément forts dès fois qu’ils se transformeraient en « Houiiiiin » nous n’en sommes pas très loin.
C’est que s’amuser demande beaucoup d’effort, de coordination… et la sieste semble s’approcher. Je vais aller l’aider à s’endormir.
Voilà elle dort.
C’était facile, j’ai utilisé la technique « soft » de l’ascenseur, (demander une démonstration à Aleth) qui consiste à fléchir les jambes (le plus bas possible) en guise de bercement du bébé qu’on tient dans les bras. Je dis « soft » parce que je ne descends pas très bas (pas besoin dirons nous). Et les yeux de Junon se ferment doucement, et s’ouvrent lentement et cèdent aux étages du petit ascenseur.
Voilà, elle dort, légèrement emmaillotée dans son tissu rose, apaisée.
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